DES COLOCATIONS AUTOGÉRÉES.
Les “lieux à vivre”, dans le jargon de l’association, sont des logements autogérés par les résidents. Organisées en vie commune, ces maisons peuvent accueillir sept et onze personnes auparavant sans domicile. Parmi eux, deux référents sont élus dans chaque habitation pour organiser le quotidien et s’assurer du respect des règles établies par tous. «Chacun a son rôle et assure à son échelle la vie en communauté : faire le ménage ou les courses, s’occuper des animaux, entretenir les espaces verts», explique Jean-Louis Galaup. De 18 à 65 ans, qu’ils soient hommes ou femmes, les résidents ont tous leurs propres responsabilités. Des studios avec des espaces en commun sont aussi proposés pour ceux qui sont plus autonomes.
- Le Journal Toulousain - 23/02/2017
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