Expérience Alpha : La fraternité, pas un vain mot. Lettres à Jésus
Avec retard mais bien sincèrement, ma fille et moi venons enfin remercier les organisateurs et animateurs des parcours Alpha Pibrac, Léguevin et Toulouse qui nous ont donné la possibilité de vivre un week-end absolument inoubliable à l’Abbaye de Boulaur. Le lieu était parfaitement choisi pour une telle rencontre... L’accueil joyeux et chaleureux de nos jeunes soeurs cisterciennes, rayonnantes et épanouies nous a beaucoup touchées.
Nous avons tous vivement ressenti la Présence de l’Esprit Saint parmi nous ces jours là !..
Quant à nos animateurs, ils se sont dévoués sans compter. Tout était parfaitement organisé... Dès notre arrivée, ils nous ont véritablement enveloppés de joie, de générosité, de tendresse !.. Grâce à tous, nous avons passé ce week-end dans une bulle protectrice, pleine de Foi, de chaleur et de bien-être ... une sensation merveilleuse, qui nous a permis de nous revivifier !
Des réponses à des problèmes personnels nous ont été apportées avec beaucoup d’amitié, de gentillesse, de disponibilité, d’efficacité et de gratuité... Un grand merci à tous !!
Nous avons ainsi pu constater que la fraternité au sein de la communauté chrétienne n’était pas un vain mot !
Ce premier Parcours Alpha et surtout ce week-end ont changé nos vies... Depuis, notre coeur s’est davantage ouvert à la Vie et aux autres; notre vision du monde est désormais plus positive !
Nous rendons grâce à l’Esprit Saint pour tous ses bienfaits !
En espérant le plaisir de vous revoir, recevez tous, nos amitiés reconnaissantes.
Christiane et Stéphanie, du parcours Alpha Toulouse.
| Week End Alpha à Boulaur. Un moment particulier de la tendresse de Dieu : les lettres à Jésus
Beaucoup de personnes ont écrit une lettre pour Jésus. Coeur à coeur avec son Créateur. Ces lettres furent portées deva nt l'autel juste avant la Consécration, durant la Sainte Messe. Elles étaient pour Jésus. Avant notre départ, avec quelques personnes, dont deux enfants, le feu fut allumé dans la cheminée , et lorsque les flammes furent vives, les lettres furent mises dans la feu une à une, avec leur secret. C'était profond, mystérieux. J'étais très émue. Nous nous mîmes à chanter spontanément : "Bénis le Seigneur, O mon âme, n'oublie aucun de ses bienfaits", puis le "Je vous salue, Marie". J'étais vraiment unie avec nos frères de Boulaur. Merci Seigneur pour tant de tendresse.
Un témoin.
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